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Évolution de la situation économique mondiale.

Après un premier état des lieux il y a 7 jours, nous continuons de vous apporter une information claire et précise sur l’évolution de l’économie mondiale et sur vos placements financiers.

Les marchés gagnés par la sinistrose capitulent.

Alors que la France et l’Europe deviennent le centre de l’épidémie, il convient de remettre au centre de nos analyses la raison et le sang-froid. Certains comportements sont guidés par l’irrationalité.

Cette dernière se trouve notamment dans les valorisations de certaines entreprises et de certains fonds. Nous le savons par expérience, ils ne veulent plus rien dire aujourd’hui.

La chute de l’activité économique prévue dans les prochaines semaines à cause des confinements et restrictions de transports explique la baisse actuelle des marchés actions.

  • -35% pour le CAC 40 depuis le début de l’année, contre +26% en 2019.

La baisse a été à la fois brutale et rapide. Si l’on peut désormais la juger très exagérée dans une vision à moyen/ long terme, il est encore trop tôt pour affirmer qu’elle est complètement achevée.

Si l’on peut raisonnablement penser que nous sommes proches du plancher, le point bas ne sera définitivement atteint que lorsque la courbe d’expansion du virus s’aplatira. Puis, que nous observerons la décrue du nombre de cas.

Les enjeux à court terme

Dans les semaines forcément particulières que nous allons vivre, les enjeux sont multiples : avant tout, réussir à enrayer l’épidémie.

Sur ce point, les dernières mesures prises par la plupart des pays d’Europe et aux États-Unis (confinements rendus obligatoires) vont dans le bon sens et finiront par porter leurs fruits.

Une fois encore, nous savons que cette crise aura une durée relativement courte. La fin de l’épidémie est une chose certaine. Mais nous ne savons pas encore exactement quand cela se produira. Quelques semaines, quelques mois encore à attendre et qui laissent planer le doute sur des marchés qui en ont horreur…

En deuxième lieu : gérer la chute de l’activité économique à court terme. Au mieux afin de permettre une reprise forte et rapide, même si elle sera sûrement graduelle.

Sur ce point, les mesures financières et d’aides budgétaires sont à la hauteur.

  • 700 milliards pour la FED (États-Unis)
  • 500 milliards pour l’Allemagne
  • Au moins 300 milliards pour la France (15 et 16 mars)
  • Sans compter les aides de la BCE.

Tout est mis en œuvre pour que le tissu économique survive à la chute temporaire d’activité. Également pour que les acteurs soient encore bien vivants et en place pour incarner et réaliser la reprise.

Enfin, il s’agit pour l’ensemble des acteurs : citoyens, épargnants, investisseurs, entreprises, gouvernants de faire preuve de résilience. Ceci pour sortir au mieux de cette crise. Les français, les américains et d’autres peuples ont montré par le passé qu’ils savaient ne pas céder à la panique.

Les raisons de garder espoir et que faire dans ce contexte :

Tout d’abord, tout comportement qui serait actuellement vendeur est à proscrire, cela équivaudrait à céder à un sentiment de panique.

En effet, vu la rapidité de la baisse, les niveaux sont anormalement bas. La meilleure conduite à tenir est de faire le dos rond, la reprise n’étant qu’une question de temps. À ce sujet, l’évolution des marchés asiatiques est encourageante. Leur situation s’améliore déjà depuis que les cas de coronavirus diminuent.

Pour ceux qui ont un besoin urgent de liquidités, le meilleur conseil reste les solutions de crédits temporaires. Le temps que les valorisations redeviennent « normales » sur leurs placements. Ceci d’autant plus que les taux de crédits sont historiquement faibles. Les contrats de placements, sans être désinvestis peuvent servir de garantie à une avance de trésorerie ou à un crédit.

Une fois le retour à la normale, il sera toujours temps de solder la ligne de crédit adossée avec le placement, sans avoir vendu au plus bas.

Pour ceux qui souhaitent profiter des opportunités créées par ces valorisations :

  • Toujours avoir à l’esprit que l’on n’attrape pas à pleine main un couteau en train de tomber,
  • Avoir du temps devant soi, se donner un horizon de temps constructif, ne pas être seulement sur la liquidité,
  • Soyez très sélectifs et prenez conseil auprès de votre conseiller habituel,
  • Dans un premier temps, il parait de bon sens de privilégier les grandes capitalisations offrant la liquidité suffisante. Ainsi qu’une bonne visibilité à moyen/long terme et qui sont exagérément en baisse actuellement,
  • L’idéal, nous ne le répèterons jamais assez, est d’investir en plusieurs fois, de façon progressive. Rendre votre épargne dynamique, sur une période de 12 à 24 mois.

Enfin, même si à ce jour cela semble prématuré, il ne fait pas de doute comme promis précédemment, que nous disposerons dans les prochaines semaines de nouvelles opportunités nées de la baisse actuelle. Nous vous les proposerons le moment venu, afin d’améliorer l’évolution de vos placements.

Nous restons plus que jamais à votre écoute et vous pouvez compter sur le dévouement de notre équipe dans cette période difficile.

Jean-Christophe BOIDIN
Conseiller en Gestion de Patrimoine et Associé

Conseiller expérimenté et dynamique, J-C se passionne pour l’actualité économique internationale. Il analyse les marchés et partage ses recherches à toute notre équipe ainsi qu’aux clients du cabinet. « Notre cabinet vous recommande les meilleures solutions d’épargne et vous propose un conseil personnalisé pour tous vos investissements. »